Un saut quantique au cœur de l’hypnose régressive.A la rencontre du la Conscience Supérieure
Je m’intéresse à l’hypnose depuis toujours, et il m’est difficile de dire exactement depuis quand. Ce qui est certain, c’est que j’ai commencé à m’y intéresser vraiment suite à la mort de mes frères.
Déjà, nos jeux d’enfants reflétaient ce désir d’ailleurs. Avec mon frère Henri, nous avions notre langage à nous, une sorte de babillage qui nous était propre, et qui à mon avis était le langage de la lumière. J’entendais des voix dans une vieille radio cassée, les crépitements, correspondaient pour moi à des connexions avec des esprits ou des mondes parallèles. Il nous arrivait de jouer en utilisant des formules, comme par exemple « Abracadabra », le mot qui crée des actions magiques.
J’étais fascinée parla mort, j’ai toujours voulu savoir ce qu’il y avait de l’autre côté, et j’ai toujours été persuadée qu’il y avait des vies antérieures, qu’il existait d’autres mondes, d’autres êtres, qu’on n’était pas seuls dans l’univers, et je voulais savoir à quel monde j’appartenais, je ne me sentais pas à ma place sur terre. J’avais des flash-backs, des impressions de déjà-vu, des intuitions sur mes vies antérieures (sorcière, fée, vie en Egypte…) J’essayais de sonder mon père à propos de la réincarnation, mais il avait tendance à casser mes rêves.
Depuis l’adolescence, je suis captivée par les constellations, les autres planètes, j’ai des visions d’autres mondes, la certitude de venir d’ailleurs, et il m’arrive parfois de me sentir dans une autre dimension. J’adorais la série de la fin des années 60, « Les envahisseurs ». Après dans les années 70, j’ai commencé à lire les livres de Raymond Moody, et cela a conforté ma certitude que la vie ne s’arrêtait pas après la mort.
Après au collège, on a entendu parler de l’hypnose et de Messmer et histoire: ça nous attirait follement, mais ça nous faisait peur aussi. Puis pendant les cours de littérature, à la fac, mon directeur de thèse était spécialisé dans le surréalisme, il nos a parlé de Robert Desnos, ce poète surréaliste dont l’œuvre a été profondément influencée par l’hypnose et l’écriture automatique (cf.« La liberté ou l’amour »).
Le terrain était donc préparé. Mais l’élément déclencheur (les éléments à vrai dire) qui ont fait que je me suis focalisée sur l’hypnose, et plus particulièrement l’hypnose régressive, ça a été la mort de mes frères, et le besoin de me rappeler et de trouver des réponses. Car à la maison, c’était l’omerta, on a voulu faire disparaître cette histoire. On n’en parlait pas, c’était un secret de famille, les photos ont été subtilisées, les concessions des tombes non renouvelées. Il n’est pas évident de faire le deuil quand on n’a ni photos ni tombes, et qu’on ne peut pas en parler…
Je me suis formée en hypnose ericksonnienne, en hypnose médicale et en hypnose régressive.
Très jeune, j’ai aussi été confrontée à la notion de la mort, qui ne m’a jamais fait peur. Je voyais cette transition comme un passage vers un monde magique et merveilleux. Cette vision m’a conduite à me poser des questions essentielles : d’où venons-nous ? Où allons-nous ? Pourquoi sommes-nous ici ? Ces interrogations m’ont poussée à explorer mes vies antérieures et à ressentir un profond décalage avec le monde qui m’entourait.
Cette quête de sens s’est renforcée avec le temps, notamment à travers mes études littéraires. Mon directeur de thèse, spécialiste du surréalisme, m’a fait découvrir l’écriture automatique et l’intérêt de certains auteurs pour l’hypnose. J’ai commencé à pratiquer l’écriture automatique et à m’initier à l’hypnose, qui semblait déjà être une partie intégrante de mon destin.
L’élément déclencheur majeur de mon parcours a été ma découverte des livres de Dolores Cannon en 2019. Ces ouvrages ont résonné en moi comme un miroir de mes propres pensées. J’ai eu l’impression de trouver enfin une communauté de personnes partageant ma vision des mondes invisibles et de l’hypnose régressive. Cette découverte a confirmé ma vocation.
En 2020, j’ai eu une séance d’hypnose régressive avec Corine Puget, responsable de la méthode QHHT en France. Cette expérience m’a transportée dans des vies extraterrestres et d’autres réalités fascinantes, renforçant ma conviction dans le pouvoir de l’hypnose pour explorer les dimensions cachées de l’existence.
Pour moi, l’hypnose est bien plus qu’une technique thérapeutique. C’est une porte ouverte vers des dimensions de soi inexplorées, un moyen de reconnecter les mondes visibles et invisibles. Que ce soit pour comprendre des événements du passé, explorer des vies antérieures ou trouver des réponses aux questions existentielles, l’hypnose permet d'aller à la source des éléments qui nous limitent pour pouvoir les transmuter.
Mon approche, nourrie par mon parcours personnel et mes expériences, vise à accompagner chaque personne dans son cheminement. Je crois profondément que nous portons tous en nous les réponses que nous cherchons, et que l’hypnose la meilleure façon de les révéler.
Si mon parcours vous parle et que vous souhaitez en savoir plus, je vous invite à regarder ma conférence sur YouTube. Vous y découvrirez comment l’hypnose a changé ma vie et peut également transformer la vôtre.
Je propose différents types d’hypnose, et les séances sont adaptées à vos besoins. Qu'il s'agisse d'hypnose régressive ou d'hypnose ericksonienne, ensemble nous trouverons les réponses à toutes vos questions.